Aaron Hotchner
AGENT DU FBI

Il est aisé de terrifier un enfant. On le ridiculise, on l'insulte et ont le maltraite. Il ne comprend pas, croit que le regard désintéressé que vous lui portez n'est qu'une façade pour lui démontrer qu'il n'est pas un être aimable. Il se sent fautif, essait d’impressionner le tortionnaire et ne fait qu'accentuer son désintéressement et son dégoût pour sa progéniture non désirée. Ce sentiment vous est-il familier? Il l'est, malheureusement, pour celui que certains surnomment affectueusement "Hotch". Bien qu'il n'ait jamais révélé les abus agressifs de son père portés à son égard lors de sa jeunesse, il sait que sa mère n'a jamais réagit en sachant la vérité, ce qu'il ne comprend toujours pas à ce jour. Aimant beaucoup sa bouteille et étant un homme à femmes, les camarades et l'entourage du jeune Aaron savaient tous que la mère de ce dernier n'était pas la seule à partager le lit de son mari. C'est lors d'un désir de confrontation, suivant son géniteur alors qu'il pensait le trouver en plein délit d’infidélité qu'il appris pour la maladie de ce dernier. Enchainant crises de cœurs et cancers, il finit par s'éteindre suite à un troisième infarctus, à 47 ans. Il laissa donc Aaron, son frère Sean alors âge d'à peine un an et sa mère seuls. Un soulagement pour le futur agent du FBI? Non, de la culpabilité. Il avait tant haï cet homme, alors que sa mort le peinait illogiquement. Ce père indigne l'avait humilié, torturé et lui avait craché au visage..., mais il regrettait de ne pas avoir eut la chance de discuter avec lui avant sa mort. Il regrettait de l'avoir perdu. Sentiment absurde. Il décida tout de même d'avancer, de ne pas regarder les erreurs et atrocités passées pour se tourner vers le futur. Ce fut donc l'amour qui poussa la porte des horreurs que constituait sa vie , sous le trait d'un simple visage. Celui d'Haley Brooks, jeune fille étudiant au même lycée que le futur surnommé "Hotch". Décidé à faire connaissance avec cette jeune femme qui obsédait maintenant ses pensées et ne sachant pas comment il avait put marcher dans les mêmes couloirs qu'elle durant toutes ces années sans la remarquer, il décida de faire une première approche. Laquelle? Celle de s'inscrire au même cours d'art théâtrale qu'elle, au grand malheur de leur professeur qui essaya d'apprendre l'art dramatique au pire des acteurs qu'il n'avait jamais rencontré. Ce fut toute fois une réussite pour engager plusieurs conversation avec Haley, qui tomba amoureuse de lui après quelques semaines. Devinez qui elle deviendrait? Sa femme et la mère de son fils, bien entendu.

Alors que notre vie semble être sur le point de prendre son envol, qui vient montrer sa dentition parfaite pour nous narguer? l'ironie du sort. Effectivement, a vie désire qu'on veuille perpétrer les traditions familiales. Qu'on effectue des études pour travailler dans un domaine identique à celui de notre bourreau. Les études en droit montrèrent donc le bout de leur nez. Une fois terminées et réussites avec succès, elle s'engagent alors à répandre le vide en nous. On ressemble à notre bourreau. C'est le nouveau sentiment qui se mit à tressaillir Aaron, qui commença à perdre un peu son ancienne identité et à devenir plus rude, plus sérieux et bien moins souriant. Heureusement, se furent des changements qu'accepta sa femme, folle amoureuse et épanouie dans son couple. Commençant à trouver que son métier était bien inutile, le jeune homme à la carrière fleurissante décida qu'il était temps de changement de d'ambition professionnelle. Mettre les meurtriers et criminels en prison alors que plusieurs couraient toujours les rues? C'était chose inacceptable, et qui lui donna la force de s'orienter vers une carrière policière, entrant au sein du FBI, à la grande peur de son épouse. Il ne lui fallut que très peu de temps pour obtenir un poste en tant que profiler, métier consistant à étudier les criminels pour permettre de les retrouver. L'une de ses premières enquêtes? L'étrangleur de Boston. Un homme sadique s'adonnant au meurtre avec idées et pensées sanglantes. La terminaison de cette enquête? Elle ne termina jamais, le policier responsable de l'enquête renvoyant Hotchner et ses coéquipiers à Quantico. Ce qu'il saurait plus tard? Que ce policier avait conclue un pacte avec diable. Pacte qui refit surface sur le lit de mort de ce pauvre homme rempli de remords. Il avait accepté de ne plus chercher à trouver l'éventreur, si ce dernier cessait d'assassiner. Bien entendu, ce contrat expira lors de la mort de celui qui avait voué sa vie au meurtrier, le laissant dicter ses règles. Ce fut donc Aaron qui fut à nouveau chargé de cette affaire plusieurs années plus tard, maintenant chef d'unité et père d'un jeune garçon: Jack. Autre ironie si l'on considère qu'Aaron avait nommé son fils du même prénom qu'un meurtrier bien connu: Jack l'éventreur.

Après maintes recherches et un refus de renouveler l'ancien pacte avec le criminel répondant sous le nom de "George Foyet", l'agent Hotchner parvint à l'arrêter, bien que ce dernier parvint à se s'échapper de la prison où il avait été envoyé. Vint alors la dégringolade. Retrouver ce meurtrier. Une vieille obsession qui revenait le hanter. Alors divorcé et ne voyant presque plus son fils, il ne pouvait que se tuer à la tâche, dormant presqu'au travail.

Le destin s'enchaîna par lui-même, lui rappelant qu'un meurtrier était toujours en liberté, ce dernier parvenant à se rendre jusqu'à son domicile pour le menacer d'une arme automatique. Suite à une bagarre de courte durée, le chef d'unité se retrouva à l’hôpital, après avoir reçu neuf coup de couteau. Se fut alors la raison qui brisa à nouveau sa vie: sa famille devait être mise sous protection judiciaire, loin de lui. Est-ce que cela allait suffire à empêcher ce sadique de les retrouver et de continuer sa torture psychologique? Non, puisque c'est chose qu'il fit en assassinant Haley. Heureusement, il n'eut pas la chance de retrouver Jack, qui avait suivit le conseil de son père et s'était réfugié dans une cachette en attendant que ce dernier ne vienne le chercher. Se remettre de cette nouvelle épreuve? Bien compliqué pour Hotch qui n'a qu'une seule idée en tête: retrouver ce criminel avant qu'il ne s'en prenne à son fils où à l'un de ses coéquipiers, qu'il considère, avec Jack, comme sa dernière et seule famille.

*C'est le temps, nos fréquentations, notre famille et l'expérience qui forge notre caractère. Les épreuves nous endurcissent et la vie nous démontre son injustice. Le sourire n'est pas inné, il s'apprend et se dévoile lorsque la noirceur délaisse notre âme.* Considéré comme un homme intègre et intelligent, Aaron ne fait pas parti des gens que l'ont pourrait qualifier d'humoristiques. N'ayant qu'un faible sens de l'humour, cadeau de la violence qu'il a subit lors de sa jeunesse, il affiche une allure grave et sérieuse. Très solidaire, il ne laissera jamais un coéquipier en danger sans réagir. Connaissant les procédures judiciaires sur le bout des doigts et ayant un talent inné pour le leadership, c'est un homme courageux qui ne lâche jamais prise. C'est un homme de conviction qu'on ne peut facilement écarter de son chemin. Bien qu'à l'apparence souvent froide et brusque, c'est un homme au grand coeur qui souffre des atrocités trop souvent croisées dans sa vie. Il ne laisse que très rarement paraître ses sentiments, incertitudes et tracas, bien qu'il n'ait pas toujours été aussi renfermé. Il a tendance à laisser ses émotions prendre le dessus lorsqu'il enquête sur de la violence portée contre un enfant, enquêtes qui lui rappellent son enfance. Il n'accepte pas qu'on fasse souffrir les gens qu'il aime, surtout lorsque cette personne est l'un de ses équipiers ou son fils.

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❝ DERRIERE L'ECRAN. " Je m'appelle C-E, je suis sur Terre depuis 22 ans et je le vis bien, enfin je crois, je vieillis quoi. J'ai connu le forum sur/grâce au pur hasard, me promenant de forum en forum. Quoi !? Vous avez pas reconnu ma belle bouille ? Mais c'est Thomas Gibson, un adorable petit nuggets - ou pas - . Bref, mon perso est un pv. "