Toute une vie ... « Elle est magnifique, elle est seule ? » « Elle avait une soeur jumelle, un couple l'a adopté, il y a quelques jours ». Popee n'avait qu'un an et un mois quand sa mère adoptive la pris pour la première fois dans ses bras, elle put lire sur une gourmette autour du poignet du bébé « Popee ». Ce fut un vrai coup de cœur, pour cette jeune femme qui ne pouvait avoir d'enfant, son mari eu le même. Popee eu alors la chance de tomber sur un couple qui serait l'éduquer comme il le fallait et lui donner l'amour dont elle avait besoin.
Popee grandit dans une ambiance familiale normale, comme beaucoup d'autre. Son père est médecin, médecin très reconnu. Sa mère, elle, est dans les Marines, pas ce qui vont sur le terrain, enfin ça lui est déjà arriver de quitter le pays, elle est l'une de ceux qui nourrissent ses héros. Pourquoi dans les Marines ? Son père était un marine, sa mère aussi, elle ne pouvait que les rejoindre aussi. Popee a mis pas mal de temps à savoir ce qu'elle voudrait faire, être dans les marines, c'était quelque chose qui été de famille, mais la violence, la guerre, ce n'est pas au goût de Popee. Elle avait dix-huit ans quand le métier qu'elle ferait plus tard lui vient. C'était en période de vacance, pour gagner de l'argent, Popee bossait à la base des marines avec sa mère, en cuisine. Un régiment était rentré la veille d'Irak. Elle marchait dans la base quand soudainement un jeune homme l'attrapa pour la cacher avec lui, accroupi, derrière un meuble, il transpirait et était complétement paniqué « Vous aurez pu vous faire tuer !» « Je ne risque rien dans la base et encore moins à Quantico ! » « Ils sont partout, ils n'arrêtent pas de tirer, nous allons mourir », il en fallut peu à Popee pour comprendre qu'il faisait parti de ceux qui revenaient d'Irak, elle discuta alors beaucoup avec lui, chaque jour ils se retrouvaient et un jour, le psychologue de la base venu la trouver, il l'avait beaucoup observer et la complimenta, « Ce métier est fait pour vous mademoiselle McCarthy ».
Popee avait vingt ans quand elle décrocha le téléphone, un coup de fil qui perturba beaucoup la jeune femme. « Popee, ma chérie » « Maman ! On arrivait pas a avoir des nouvelles de toi ! Comment tu vas ? » « Ma chérie, tu sais, je vous ai toujours aimé, ton père et toi » « Qu'est-ce qui ce passe maman ?! Ca va pas ? » « Le camp a été touché, j'ai été touché.. Je ne pense pas pouvoir tenir jusqu'au rapatriement en Amérique. Je suis désolée ma puce, je n'ai plus que quelques jours » « Maman non ! » « Popee, il y a quelque chose qu'il faut que tu saches, ton père ne voulait pas te le dire, mais je pense que c'est important que tu le saches.. » « Maman tu vas survivre ! Tout va bien se passer tu vas rentrer et on va te guérir ! » « Popee.. Tu es ma fille, tu le seras toujours, mais ton père et moi, nous n'avons jamais pu avoir d'enfant.. On t'a adopté alors que tu n'avais qu'un an. Je suis désolée de ne pas te l'avoir dis plus tôt.. » « Reviens vite maman » « Je vous aime énormément ». Son père était venu à côté du téléphone, il le prit et après quelques minutes, il vint prendre Popee dans ses bras. La première fois que Popee pleura pour sa mère, se fut le jour de l'enterrement. En se qui concerne son adoption, Popee a entrepris des recherches, elle retourna à l'orphelinat, elle appris que sa mère ne l'avait pas abandonné de son gré, mais à cause de ses parents. Elle appris alors aussi qu'elle avait une sœur jumelle. Mais c'est comme rechercher une aiguille dans une botte de foin. Popee continu alors sa vie, peut-être qu'un jour elle croisa le chemin de cette famille biologique. Elle est dans sa dernière année de psychologie, elle veut être psy pour les marines et autre force de l'ordre, et elle travaille toujours en temps que cuisinière à la base de Quantico.
| Un joli caractère ... « Vous devrez savoir écouter, comprendre, analyser pour ensuite pourvoir aider. Mais pouvez-vous déjà me dire si vous savez qui vous êtes, quels sont vos qualités et vos défauts ? Vous avez une heure »
Comme tout être vivant, j'ai des qualités et des défauts, plus ou moins supportable. On m'a toujours beaucoup complimenté sur le fait que je suis très souriante et aimable, j'inspire la joie et la bonne humeur. J'aime vivre et, pour moi, il faut savoir vivre sa vie avec le sourire. Je pense avoir beaucoup d'humour, plus petite, j'étais le pitre de service et ça ne me déplaisais pas. Je n'aime pas voir les larmes coulaient sur les joues de quelqu'un et j'en suis très vite émue, et même si c'est un parfait inconnu, je vais facilement allé essayer de lui remonter le moral. J'ai toujours été une oreille pour mes amis, mes proches, apparemment, je suis toujours de bon conseil et surtout digne de confiance. J'aime écouter et conseiller, par contre je n'aime pas me confier et être conseiller, j'ai beaucoup de mal à faire confiance puis j'ai l'impression d'ennuyer celui qui m'écoute. Non, je suis fait pour écouter, pas l'inverse. Pourtant, malgré ça, je suis une grande bavarde, j'ai tendance à un peu trop parler quand on est sur un sujet qui m'intéresse, puis je pose aussi pas mal de questions, curieuse serait le bon mot. « Tu es très têtue, Popee McCarthy ! Une mûle à coté de toi, c'est rien ! », combien de fois est-ce que j'ai pu entendre ma mère dire cette phrase ! C'est vrai que je suis têtue, en même temps quand je sais que j'ai raison, je vais pas me laisser faire. Puis je suis aussi très déterminée et j'aime aller jusqu'au bout des choses. Trop sociable ? Oui, on m'a déjà reproché ma facilité d'aller vers les gens, d'avoir la parlotte facile. Je pense être quelqu'un d'extraverti, ouverte à beaucoup de chose. Je ne suis pas timide et je n'aime pas rester longtemps seule, j'ai peur de la solitude. |